Questions fréquentes sur le lifting médical par fils

  • Faut-il une hospitalisation ?
    Non.
  • Faut-il une anesthésie lourde ?
    Non. Une anesthésie locale suffit.
  • Quelle est la durée d’intervention ?
    1/2 heure à 2 heures selon l’intervention.
  • Quelles sont les suites ?  
    Des possibles ecchymoses, des douleurs variables à type de tension, un aspect tracté, l’ensemble pendant quelques jours, l’immense majorité des patientes étant visible à 7 jours. 
  • Quelle est la durée du résultat ?
    1 à 3 ans, voire beaucoup plus selon les techniques, par une action de remise en tension.
  • Quels sont les principaux problèmes de cette implantation ?
    Aucun risque vital, mais suites exceptionnellement longues, fils mal posés et visibles, résultats décevants.
  • Les fils peuvent-ils provoquer une paralysie faciale ?
    Jamais une paralysie faciale n'a été provoquée par un fil.
  • Les fils peuvent-ils casser ?
    Non, pas une fois qu'ils sont installés. Ça ne peut arriver que lors de l’implantation. Ils sont donc remplacés immédiatement.
  • Peut-on enlever les fils ?
    Oui pour les permanents, non pour les résorbables.
  • Les fils sont-ils visibles sous la peau ?  
    Normalement non, même s’ils sont bleus, s’ils sont à la bonne profondeur.
  • Les fils sont-ils sensibles sous la peau ?
    Normalement non, s’ils sont à la bonne profondeur et si la peau est
    d’une épaisseur convenable.
  • Peut-on implanter ces fils après avoir eu un lifting chirurgical ?
    Oui.
  • Peut-on pratiquer un lifting chirurgical après les fils ?
    Oui.
  • Y a-t-il des traitements contre-indiqués après implantation ?
    Oui, l’épilation laser sur les zones implantées, et la radio-fréquence sur le visage.
  • Ce traitement convient-il aux hommes ?  
    Parfaitement, leur peau épaisse y est très propice.
  • Quel est le coût de cette intervention ?  
    De 1000 à 3000 euros selon les techniques, les fils et les praticiens.
  • Cette intervention est-elle remboursée par la Sécurité Sociale ?
    Non, il s’agit d’esthétique pure que la prévoyance collective n’a pas à assumer.